Le Conseil des Sages musulmans  condamne les attaques terroristes qui ont visé Paris et affirme:
-    Ceux qui ont commis ces attaques se sont débarrassés du moindre sens d'humanité et des valeurs humaines
-    Il est temps de conjuguer les efforts internationaux  pour faire face au terrorisme avec force et fermeté

Le Conseil des Sages musulmans  présidé par le Grand imam de l'Azhar, Prof. Dr. Ahmed al Tayyeb, cheikh de l'Azhar et chef des Conseil des Sages musulmans condamne avec force les attaques terroristes sanguines qui ont frappé la capitale française, Paris.
Le Conseil des Sages musulmans souligne que ceux qui ont commis ces actes terroristes lâches contredisant tous les sens, toutes valeurs et les mœurs se sont débarrassés de tous les valeurs et usages qui incriminent le fait de tuer et d'horrifier les innocents sécurisés. Il est donc temps plus que jamais de faire face,  avec force et fermeté,  à ces groupes égarés dissidents qui sèment la corruption sur la terre  et menacent, par ses actes atroces, la paix internationale à laquelle aspire toute l'humanité
Tout en exprimant toutes ses sincères condoléances  et sa solidarité avec la République française dans ces événements douloureux, le Conseil des Sages musulmans sollicite Allah, le Très Haut, d'accorder toute patience à leurs proches et toute prompte guérison aux blessés.
 Il insiste également  sur la nécessité de conjuguer les efforts  et les démarches de la communauté internationale pour éradiquer ce fléau damné et débarrasser le monde de ses  effets néfastes et de ses maux. Nous concluons par le verset coranique:
" C'est pourquoi Nous avons prescrit pour les Enfants d'Israël que quiconque tuerait une personne non coupable d'un meurtre ou d'une corruption sur la terre, c'est comme s'il avait tué tous les hommes. Et quiconque lui fait don de la vie, c'est comme s'il faisait don de la vie à tous les hommes. En effet Nos messagers sont venus à eux avec les preuves. Et puis voilà, qu'en dépit de cela, beaucoup d'entre eux se mettent à commettre des excès sur la terre". (Sourate la Table servie, V.32)